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Restauration et mise en tourisme de deux zones humides

  • Département : Ain
  • Bénéficiaire : Conservatoire d'Espaces naturels Rhône-Alpes
Vue aérienne du Lac Genin (01)
En chiffres

Restauration et mise en tourisme de deux zones humides

  • Dates du projet -
  • Montant éligible programmé

    994 801.75 €

  • Montant UE Programmé 596 881.06 €
  • Taux d’aide 60 %

Avec ses 132 hectares, le Marais de Vaux est la deuxième plus grande zone humide du département de l'Ain, ainsi que la plus grande zone humide de la montagne du Bugey. Près de 160 espèces végétales y ont été répertoriées. 

Surnommé « le petit canada » du Haut-Bugey, le Lac Genin et les tourbières associées sont de véritables pépites naturelles du département de l'Ain, et le support d'activités de pleine nature variées dont la pêche, la randonnée pédestre, mais aussi le patinage ou la plongée en hiver.

Malgré tous leurs atouts, ces deux zones humides présentent des dysfonctionnements fonctionnels avérés pour jouer pleinement leur rôle d'élément attractif pour le tourisme sur le territoire du Jura.

Le projet porté par le Conservatoire d'Espaces Naturels Rhône-Alpes vise à améliorer l'attractivité touristique des 2 sites par des travaux de mise en tourisme d'ampleur et d'autre part améliorer le caractère hydrologique et écologique des deux sites. 

Il s'agit d'augmenter l'accueil du public pour le Marais de Vaux et en revanche de canaliser et gérer le public sur le lac Genin.

Les actions proposées pour le Marais de Vaux sont organisées pour :

  • la restauration hydrologique et écologique du marais : installation de clôtures et équipement, lutte contre les espèces envahissantes, restauration hydrologique et des suivis de l'impact des travaux sur l'état de conservation des habitats naturels, de la faune et de la flore,
  • le développement de l'accueil touristique sur le sentier sur pilotis


Les actions proposées pour le Lac Genin sont organisées pour : 

  • la restauration hydrologique et écologique de la zone humide du lac : création d'une piste d'accès, travaux de restauration proprement dit, le bouchage de drains asséchant la tourbière des Molonnes,
  • le développement et la canalisation de la fréquentation aux abords du Lac : la réhabilitation des berges dégradées par la fréquentation, canalisation de la fréquentation et la sécurisation du stationnement, signalétique d'accès au site, reprise d'un chemin pour les piétons 
     

Pour les deux sites, des journées de découverte pour promouvoir l'opération et le site seront réalisées.

 

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